Tout est une question de timing, on le sait.
Pour se préparer à la retraite, il n’est jamais trop tôt (mais on ne le fait jamais assez) ni jamais trop tard (sauf si on est déjà à la retraite, évidemment). Alors pour ne pas dire « j’ai manqué le rendez-vous » il n’y a pas de meilleur moment que maintenant pour agir et prendre l’initiative pour se préparer.
Car il faut se préparer
Non pas au pire (évitons les constats anxiogènes en ce moment) mais en tenant compte du fait que l’équilibre de notre système de retraite a vu bouger son centre de gravité, avec l’évolution de notre démographie depuis 50 ans.
Jean-Philippe Dubosc l’évoquait récemment une nouvelle fois : telles que nous les connaissons, les retraites par répartition ne peuvent plus, seules, assumer leur rôle, du fait de leur mécanisme de financement et faute de cotisants actifs en nombre suffisant. La situation sera encore plus marquée dans les années qui viennent (réforme après réforme) et nos retraites, bien que sauvegardées, seront moins élevées.
Face à cette incertitude, il faut avancer. Faire des enfants est une solution, sur le long terme – et ils nous poussent justement à faire preuve d’initiative. Mais à une autre échelle, plus immédiate, il est possible de reprendre la main.
Les dispositifs retraite sont nombreux (publics, privés, en entreprise ou individuels) et ce choix est une véritable chance. Une chance et aussi un besoin d’être conseillé, tant cette richesse de dispositifs nécessite, pour s’y retrouver, de l’information et du temps. Encore et toujours, cette question du temps.
Nos gouvernants ont simplifié les choses (oui c’est possible !)
Avec la Loi Pacte, il ont fléché le chemin vers une solution transverse et transférable avec la création du Plan d’Epargne Retraite (PER) l’an dernier. Plusieurs fois par le passé, ils s’y sont essayé avec plus ou moins de réussite. Les dernières tentatives remontaient aux années 90 (il faut du temps) avec la création du contrat « Loi Madelin » pour les indépendants et à l’année 2003 avec la création du PERP, une copie perfectible… tous ces anciens dispositifs étant désormais transférables vers le PER, avec une sortie en capital possible.
C’est donc aussi un bon moment pour se souvenir de son vieux PERP ou de son contrat Madelin, toujours alimentés ou bien laissés de côté, faute de souplesse et de liberté de choix dans leur fonctionnement.
Apporter des solutions simples et adaptées à des problématiques complexes : c‘est notre lecture du PER chez Mon Partenaire Patrimoine
- D’abord sur l’accessibilité : verser quand on veut, quand on peut, sans douleur (de petits versements mensuels suffisent pour démarrer) et sans obligation, que l’on soit salarié ou Travailleur Non Salarié
- Ensuite sur la liberté : aussi bien sur les versements que sur les modes de sortie (aucune contrainte de percevoir son épargne sous forme de rente, un vrai repoussoir pour le PERP ou le Madelin). Les possibilités d’investissement sont multiples, que l’on choisisse par soi-même ou en délégant la gestion financière : les formules sont riches et diversifiées, sur une multitude de supports financiers, y compris en solutions d’investissement responsable. La transférabilité du PER entre établissements est aussi un atout indéniable (en assurance vie, à grande échelle, on en est encore loin)
- N’oublions pas l’ingéniosité : avec les avantages propres au PER et un bon conseil, il est possible de construire une stratégie patrimoniale complète, pour un projet retraite mais aussi par exemple pour aider ses enfants à acquérir leur résidence principale (un cas de sortie anticipée sur le PER) ce qui en fait une alternative au PEL ou au « tout assurance vie »
- Last but not least, la fiscalité, avec un levier unique sur le marché des produits d’épargne. Profitant du mécanisme de réduction d’impôts sur le revenu basé sur les plafonds retraite (rappelé ici) c’est un avantage immédiat et donc l’opportunité de s’y mettre tout de suite, tout en sachant que cette réduction fiscale est renouvelée chaque année !
Mais encore ? Savez-vous que vous pouvez « capter » l’économie d’impôts du PER en re-allouant sans fiscalité une partie de votre contrat d’assurance vie ? Pour tout cela il vous faut agir avant la fin de l’année, et vous y prendre dès à présent pour garantir l’effet fiscal des versements.
Alors évitez les rendez-vous manqués*
Parlez-en à un conseiller qui saura vous accompagner en prenant en compte chacune des composantes de votre situation (civile, financière, fiscale…) pour construire une solution sur-mesure avec une offre accessible et personnalisable comme le PER : c’est le bon moment.
Pour ce qui est du conseiller, nous avons notre idée sur la question : Mon Partenaire Patrimoine est là pour vous 😉 Il est même possible d’échanger par messagerie instantanée, pour se faire une première idée… et gagner du temps !
« Le bon moment » : un livre très bien documenté de Daniel Pink sur l’importance de faire les choses au moment le plus approprié (physiologiquement, psychologiquement) pour maximiser ses chances de succès.
* « Les rendez-vous manqués » c’est aussi une belle chanson, méconnue, de Maxime Le Forestier… mais faites-en sorte que cela ne reste qu’une chanson !