Je ne sais pas vous, mais moi je trouve que les taux d’intérêt à court terme sont trop bas ! J’aime pas beaucoup trop ça. J’préfère quand c’est un peu trop plus moins bas.
Les taux à court terme sont un tombeau pour votre épargne de précaution. Et pour que ce tombeau ne soit pas le tombeau de votre épargne, il y a des choses à faire. Suivez le conseiller en gestion de patrimoine (c’est une bonne situation ça, conseiller en gestion de patrimoine ? Vous savez, moi je ne crois pas qu’il y ait de bonne ou de mauvaise situation. En tout cas c’est le don de soi, cela permet de danser l’épargne, de chanter l’épargne… 😊).
Inutile de lever les bras au ciel et de crier : « Ouais, c’est ça, qu’on me couvre d’or ! ». Le placement à vue sans risque ne rapporte plus rien, il vous fait même perdre du pouvoir d’achat.
À la date de rédaction de ce papier, l’EONIA (Euro Overnight Index Average, le taux de l’argent au jour le jour) est à – 0,467% en base annuelle. Cela signifie que quand les banques se prêtent entre elles au jour le jour, elles payent pour prêter (ou sont payées pour emprunter). La raison est simple : c’est le résultat de la politique « accommodante » (dans les faits, « sans limites ») des banques centrales pour limiter la casse de la crise financière de 2008-2009 et de la crise sanitaire d’aujourd’hui, et pour soutenir les déficits publics des États. Déficits d’ailleurs financés à moindres frais, puisque le taux de l’Obligation Assimilable du Trésor à 10 ans (OAT, l’emprunt d’État français le plus liquide) est aujourd’hui lui aussi négatif. Toute la courbe des taux, de l’horizon le plus court à l’horizon le plus lointain, est impactée par ces taux bas.
Avec un environnement de taux pareil, ce qui est certain c’est que le taux sans risque est devenu le risque sans taux. Avec une inflation (indice des prix INSEE hors tabac) de 0,8% sur les 12 derniers mois, même l’argent placé sur votre Livret A ou votre Livret de Développement durable à 0,5% net/an perd en pouvoir d’achat. Et c’est sans parler des sommes qui traînent sur vos comptes courants. Ces rendements en berne ont aussi un impact sur le sacro-saint fonds euro des contrats d’assurance vie, dont la garantie passe progressivement en brut de frais et auquel les assureurs limitent souvent l’accès désormais, pour éviter que l’on s’en serve pour ses liquidités en diluant le peu de rendement qu’ils savent encore servir.
Illustrons : pour retrouver un taux positif net d’inflation sur un placement court terme de type livret, il faut remonter à 2016. Le Livret A rapportait alors 0,75%, avec une inflation à 0,2%. Pas de quoi s’acheter une paire de chaussures avec le rendement, même trop grandes et puis moches en plus, et même en rêve.
Mon épargne à court terme se dé-ravive, alors comment la raviver ? Je veux la vérité, viens me le dire de profil si t’es un homme !
Vous voulez la vérité ? Eh bien nous allons vous la dire (en face), car nous sommes des hommes et des femmes de conviction : placer à court terme, ce n’est pas investir, c’est épargner par précaution. Et qui dit précaution dit liquidité et sécurité. Et cette épargne de sécurité, aujourd’hui, ne rapporte plus grand-chose, même si avec un peu de travail on peut trouver mieux que le Livret A. Au-delà du « matelas de sécurité » à court terme, c’est-à-dire au-delà de la somme d’argent récupérable à tout moment qui vous permet de bien dormir et de faire face à une dépense imprévue (on dit souvent 2 à 4 mois de train de vie, selon votre jauge personnelle), il est indispensable de reprendre du risque adapté à son horizon de temps pour espérer un rendement qui vous couvrira d’or. Et ce rendement brut est la clé, quelle que soit l’enveloppe fiscale (assurance vie, PER, compte titres, assurance vie, PEA…) dans lequel vous irez le chercher, et sera moins « liquide », c’est-à-dire moins récupérable à tout moment, en tous cas pendant une certaine durée. Mais évidemment il faudra y aller, vous le savez, comme les hérissons font l’amour (avec d’infinies précautions) * : investissement régulier, diversification, arbitrages de sécurisation des plus-values….
C’est le deuxième étage. Ça, on anticipe ! On a mis une porte au plafond de notre solution d’épargne à court terme pour cela, pour prévoir quand vous aurez atteint votre jauge personnelle, et là Paf, vous pourrez y accéder !
*Celle-là elle n’est pas dans Astérix et Obélix Mission Cléopâtre, et si je suis honnête c’est une vanne que je dois à Stéphane Soumier de BSmartTV #rendonsàCésar)
Toute autre proposition est à écarter, car le sol de votre épargne ne doit pas être bizarre, pas palpable !
Chez Mon Partenaire Patrimoine, nous n’avons qu’un objectif : vous et vos projets. Avec nous, évaluez votre besoin de placement court terme, et mettez en place une stratégie systématique couplant un livret plus rémunérateur que le Livret A, et une ou plusieurs solutions d’investissement long terme, alimentées par écrêtage au-delà de votre « matelas de sécurité ». C’est l’essence de notre promesse de conseiller en gestion de patrimoine pour tous, et de notre engagement de mettre du service autour des produits. Et ce n’est pas une question d’âge : procéder avec méthode et systématisme porte des fruits de 20 à 77 ans : c’est comme cela que vos sesterces se multiplieront !
Alors pour éviter qu’il fasse au moins -8.000 de rendement de votre épargne, contactez-nous ! Nous serions, chers amis, très heureux de vous voir (c’est un alexandrin).
Et c’est qui le lion de l’épargne maintenant* ?
*J’ai failli ajouter « bande de chacals » mais le comité de relecture n’a pas voulu, il a eu peur que vous le preniez mal.
PS : Astérix et Obélix Mission Cléopâtre mérite d’être vu et revu en famille, taux négatifs et confinement ou pas !